Vendredi
28 Février 2020
CONCERT ANNULÉ Pour remboursement, les personnes qui avaient acheté leur billet sont priées de communiquer leur nom et Iban à l'adresse suivante: billetterie@amr-geneve.ch
Thomas & Guro, Nouvelles pistes scandinaves, un concert à découvrir le 28 février 2020 à l'AMR / Sud des Alpes, Genève, dans le cadre de Notes Polaires.
Profondément ancrés dans les traditions musicales suédoise et norvégienne, Thomas et Guro sont deux jeunes artistes qui demeurent à l’écoute de multiples influences.
Guro joue du violon traditionnel norvégien hardingfele et le croise avec la viola d’amore... Thomas manie une forme particulière de luth, une sorte de cistre qui tire ses origines du bouzouki irlandais. Tous deux accordent au sein de leurs concerts une place de choix aux airs traditionnels comme à leurs propres compositions.
Ils offrent aussi d’heureuses ouvertures sur la musique « celtique » et s’inspirent de certains répertoires américains comme le Bluegrass. C’est là une manière personnelle de présenter le hardingfele en renouvelant ses timbres, ses rythmes et ses mélodies pour la plupart issus de la danse. Autant de façons de faire ressortir diverses ressemblances, voire des liens de parenté, entre des univers sonores variés.
► Concert organisé par les Ateliers d'ethnomusicologie et l'AMR, avec le soutien de la Ville de Genève et du Fonds culturel Sud.
Thomas & Guro, Nouvelles pistes scandinaves, un concert à découvrir le 28 février 2020 à l'AMR / Sud des Alpes, Genève, dans le cadre de Notes Polaires.
Profondément ancrés dans les traditions musicales suédoise et norvégienne, Thomas et Guro sont deux jeunes artistes qui demeurent à l’écoute de multiples influences.
Guro joue du violon traditionnel norvégien hardingfele et le croise avec la viola d’amore... Thomas manie une forme particulière de luth, une sorte de cistre qui tire ses origines du bouzouki irlandais. Tous deux accordent au sein de leurs concerts une place de choix aux airs traditionnels comme à leurs propres compositions.
Ils offrent aussi d’heureuses ouvertures sur la musique « celtique » et s’inspirent de certains répertoires américains comme le Bluegrass. C’est là une manière personnelle de présenter le hardingfele en renouvelant ses timbres, ses rythmes et ses mélodies pour la plupart issus de la danse. Autant de façons de faire ressortir diverses ressemblances, voire des liens de parenté, entre des univers sonores variés.
► Concert organisé par les Ateliers d'ethnomusicologie et l'AMR, avec le soutien de la Ville de Genève et du Fonds culturel Sud.
Thomas Eriksson, cistre (luth) - Guro Kvifte Nesheim, hardingfele (violon traditionnel norvégien), hardanger d’amore
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