Tuer le père
16 - 18 déc 2022 | Grande salle | Durée : 3h20
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avec
Nicolas Bouchaud Fiodor Karamazov, père Païssy, l’avocat Fétioukovitch
Sylvain Creuzevault Ivan Karamazov
Servane Ducorps mère Iossif, Grouchenka, Mamounette
Vladislav Galard Dmitri Karamazov, un prêtre, Madame Khokhlakova, Ilioucha
Arthur Igual Alexeï Karamazov (Aliocha)
Sava Lolov le Starets Zossima, le Polonais, le procureur
Frédéric Noaille Snéguiriov, Rakitine
Blanche Ripoche une moniale, Katérina Ivanovna, Pavel Smerdiakov
Sylvain Sounier un moine, Piotr, le policier Kolia
Et avec Sylvaine Hélary, Antonin Rayon (musiciens)
D’après Les Frères Karamazov de Fedor Dostoïevski
Adaptation et mise en scène Sylvain Creuzevault
Traduction française André Markowicz
Scénographie Jean-Baptiste Bellon
Composition musicale Sylvaine Hélary, Antonin Rayon
Son et régie générale Michaël Schaller
Lumière Vyara Stefanova
Régie lumière Jacques Grislin
Vidéo Valentin Dabbadie
Costumes Gwendoline Bouget
Masques Loïc Nébréda
Maquillage et coiffure Mityl Brimeur
Dramaturgie Julien Allavena
Administration de tournée Anne-Lise Roustan
Production et diffusion Élodie Régibier
Production Le Singe
Coproduction Odéon-Théâtre de l’Europe - Paris, Festival d’Automne à Paris, Théâtre national de Strasbourg, L’Empreinte - Scène nationale Brive-Tulle, Théâtre des 13 vents - Centre dramatique national de Montpellier, Théâtre de l’Union - Centre dramatique national de Limoges, La Coursive - Scène nationale de La Rochelle, Bonlieu - Scène nationale d’Annecy
Soutien OARA - Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine
La compagnie est soutenue par le ministère de la Culture / DRAC Nouvelle-Aquitaine
Les Frères Karamazov de Fedor Dostoïevski, traduction André Markowicz, est publié aux éditions Actes Sud, 2002
« Que l’on rie avec Les Frères Karamazov n’est pas la moindre vertu du spectacle, qui offre le plaisir rare de voir une pensée réellement incarnée. » Le Monde
« Un grand moment jubilatoire.» Le Figaro
« Sylvain Creuzevault excelle à souligner la versatilité des personnages et l’extrême ambiguïté des discours.» Libération
« Quatre heures (entracte compris) d’un tourbillon d’émotions fortes.» Les trois coups
« Un magistral Les Frères Karamazov qui offre une véritable leçon scénique et dramaturgique, subtile, fluide et drôle.» IOgazette
« Sylvain Creuzevault fait virevolter ces âmes écartelées, suscite l’empathie et crée de beaux portraits. » Lesinrocks
« Le metteur en scène adapte avec une intelligence rare, une impeccable maîtrise et une certaine forme de sagesse le dernier chef d’œuvre de Dostoïevski. » Sceneweb