Samedi
4 Avril 2020
L'Ensemble vocal de Poche et L’Armonia degli Affetti interprètent Lamentationes Jeremiae, de Palestrina, le 4 avril 2020 au Temple de Saint-Gervais, Genève.
Ce programme autour des Lamentations du Prophète Jérémie de Palestrina s’inscrit dans la liturgie pour la Semaine Sainte.
La musique de Palestrina est extrêmement dramatique et frappe par les images concrètes qu’elle évoque.
Chanteurs et instrumentistes s’attachent à donner une nouvelle lecture de la polyphonie palestrinienne. L’Ensemble vocal de Poche et L’Armonia degli Affetti se plongent dans la musique de Palestrina, compositeur admiré et étudié par les grands musiciens des siècles suivants – Bach étudiait ses partitions avant de composer sa monumentale Messe en si mineur.
Ce programme autour des Lamentations du Prophète Jérémie s’inscrit dans la liturgie pour la Semaine Sainte. La musique de Palestrina est extrêmement dramatique et frappe le public par les images concrètes qu’elle évoque. Alessandro Urbano s’attache à donner une nouvelle lecture de la polyphonie palestrinienne, avec en particulier, pour le soutien des voix, l’utilisation du lirone, instrument de la renaissance italienne lié à la souffrance et à la méditation.
Ce programme autour des Lamentations du Prophète Jérémie de Palestrina s’inscrit dans la liturgie pour la Semaine Sainte.
La musique de Palestrina est extrêmement dramatique et frappe par les images concrètes qu’elle évoque.
Chanteurs et instrumentistes s’attachent à donner une nouvelle lecture de la polyphonie palestrinienne. L’Ensemble vocal de Poche et L’Armonia degli Affetti se plongent dans la musique de Palestrina, compositeur admiré et étudié par les grands musiciens des siècles suivants – Bach étudiait ses partitions avant de composer sa monumentale Messe en si mineur.
Ce programme autour des Lamentations du Prophète Jérémie s’inscrit dans la liturgie pour la Semaine Sainte. La musique de Palestrina est extrêmement dramatique et frappe le public par les images concrètes qu’elle évoque. Alessandro Urbano s’attache à donner une nouvelle lecture de la polyphonie palestrinienne, avec en particulier, pour le soutien des voix, l’utilisation du lirone, instrument de la renaissance italienne lié à la souffrance et à la méditation.
Alessandro Urbano, direction
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