Dès le Jeudi
25 au 28 Avril 2024
Frankenstein (a love story), un spectacle de Motus à découvrir du 25 au 28 avril 2024 au Grütli, Genève.
Frankenstein ou le Prométhée moderne est la base de cette «nouvelle créature» proposée par la compagnie italienne Motus.
Un projet monstrueux composé de l’assemblage de différents épisodes et du désir de redonner vie à l’inanimé, en le galvanisant, en le décomposant et en recomposant des morceaux littéraires.
Un spectacle sur Frankenstein qui est lui-même (un) Frankenstein.
Dans des paysages extrêmes, glacés, douloureux, deux personnages se poursuivent, cherchent un abri. La colère, l’amour, l’inquiétude, l’horreur, et encore l’amour, l’amour, un excès d’amour non partagé. La solitude radicale d’une créature inaudible, intouchable, qui ne trouve personne à qui parler, qui puisse dire son nom.
C’est aux frontières que les monstres prolifèrent. Entre les mondes. Et c’est là, entre les mailles de chairs et de peaux différentes, que cette œuvre tente de se tenir. Le monstre engendré est «un malheureux», «un misérable», comme on dit de ceux qui naissent mal équipés pour l’aventure du monde: mais souvenez-vous bien que monstrum dérive de monēre, avertir, et qu’il y a toujours quelque chose de prodigieux dans l’avertissement...
Spectacle surtitré en français et en anglais
Frankenstein ou le Prométhée moderne est la base de cette «nouvelle créature» proposée par la compagnie italienne Motus.
Un projet monstrueux composé de l’assemblage de différents épisodes et du désir de redonner vie à l’inanimé, en le galvanisant, en le décomposant et en recomposant des morceaux littéraires.
Un spectacle sur Frankenstein qui est lui-même (un) Frankenstein.
Dans des paysages extrêmes, glacés, douloureux, deux personnages se poursuivent, cherchent un abri. La colère, l’amour, l’inquiétude, l’horreur, et encore l’amour, l’amour, un excès d’amour non partagé. La solitude radicale d’une créature inaudible, intouchable, qui ne trouve personne à qui parler, qui puisse dire son nom.
C’est aux frontières que les monstres prolifèrent. Entre les mondes. Et c’est là, entre les mailles de chairs et de peaux différentes, que cette œuvre tente de se tenir. Le monstre engendré est «un malheureux», «un misérable», comme on dit de ceux qui naissent mal équipés pour l’aventure du monde: mais souvenez-vous bien que monstrum dérive de monēre, avertir, et qu’il y a toujours quelque chose de prodigieux dans l’avertissement...
Spectacle surtitré en français et en anglais
Daniela Nicolò & Enrico Casagrande, conception et mise en scène - Cie Motus
Avec Silvia Calderoni, Alexia Sarantopoulou, Enrico Casagrande
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