Dès le Samedi
19 au 20 Octobre 2024
IFIF, une proposition de Emily Mast à découvrir les 19 et 20 octobre 2024 Maison des Arts du Grütli, Genève.
Emily Mast travaille à la croisée de la performance, des arts visuels, de la poésie et du théâtre. Avec un intérêt marqué pour le monde de la sémiotique, son travail combine souvent des signes, des symboles et des disciplines afin de déconstruire les conventions régissant le langage et d’exposer leurs limites.
Ses œuvres ont souvent plus d’une itération ou se transforment au fil du temps.
IFiF est un rituel de groupe qui prend la forme d’un jeu qui fait appel au hasard, à la danse et à la transe. C’est l’une des nombreuses propositions nées de la méthodologie qu’Emily Mast a commencé à développer pendant la pandémie. Elle utilise l’hypnose, le tantra, la dynamique Dom/sub, l’harmonisation émotionnelle, le mouvement physique, l’écriture libre et les techniques théâtrales pour inventer des cadres de consentement et de limites qui engagent le subconscient et l’exploite en tant qu’outil de cocréation et de transformation.
Les spectateur·rice·x·s sont invité·e·x·s à assister au rituel autour de l’espace de jeu, à une distance suffisamment intime pour leur permettre d’entrer dans la lutte permanente des interprètes pour respecter les règles presque impossibles du jeu et de vivre l’expérience en immersion.
Au Studio ADC, au troisième étage de la Maison des arts du Grütli
Emily Mast travaille à la croisée de la performance, des arts visuels, de la poésie et du théâtre. Avec un intérêt marqué pour le monde de la sémiotique, son travail combine souvent des signes, des symboles et des disciplines afin de déconstruire les conventions régissant le langage et d’exposer leurs limites.
Ses œuvres ont souvent plus d’une itération ou se transforment au fil du temps.
IFiF est un rituel de groupe qui prend la forme d’un jeu qui fait appel au hasard, à la danse et à la transe. C’est l’une des nombreuses propositions nées de la méthodologie qu’Emily Mast a commencé à développer pendant la pandémie. Elle utilise l’hypnose, le tantra, la dynamique Dom/sub, l’harmonisation émotionnelle, le mouvement physique, l’écriture libre et les techniques théâtrales pour inventer des cadres de consentement et de limites qui engagent le subconscient et l’exploite en tant qu’outil de cocréation et de transformation.
Les spectateur·rice·x·s sont invité·e·x·s à assister au rituel autour de l’espace de jeu, à une distance suffisamment intime pour leur permettre d’entrer dans la lutte permanente des interprètes pour respecter les règles presque impossibles du jeu et de vivre l’expérience en immersion.
Au Studio ADC, au troisième étage de la Maison des arts du Grütli
Dans le cadre de Dance First Think Later
Núria Argilés Macià, Eléonore Barbara Bovet, Emma Delvac, Bast Hippocrate, Nathan Yann, Geosmin Minjeong Yang et un musicien, Yehuda Duenyas, performance
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