Dès le Vendredi
1 au 4 Septembre 2023
Maud Blandel présente L'œil nu, une chorégraphie à découvrir du 1er au 4 septembre 2023 au Pavillon ADC, Genève.
On dit qu’une étoile commence à mourir lorsque, ayant épuisé ses réserves d’hydrogène, elle quitte son état d’équilibre.
Débute alors une longue phase de dégénérescence qui mènera, selon la taille de l’astre, à l’effondrement de son cœur voire à sa violente explosion.
Pour cette nouvelle création, Maud Blandel associe le phénomène astrophysique des pulsars au souvenir sonore tragique de l’explosion du cœur de son père.
En traduisant des principes tels que la rotation, la gravité, la périodicité, L’Œil nu met en jeu six danseur·euse·s et transforme l’espace scénique en véritable terrain d’observation: face à un corps (stellaire, physique, collectif) qui dégénère, que perçoit-on réellement?
Proposant bien plus qu’un simple travail de reconstitution d’un événement autobiographique, Maud Blandel joue des changements d’échelle, déjoue le tragique et met en images les (dys)fonctionnements de la mémoire: ses persistances, ses boucles autant que ses trous et autres zones d’ombre.
Car c’est bien là où la mémoire fait inévitablement défaut que s’engage la puissance de l’imagination. Il s’agit donc de faire image(s) afin de donner forme à celles qui nous manquent, de déformer celles que nous avons, et de célébrer par le corps ce qui dépasse notre entendement.
On dit qu’une étoile commence à mourir lorsque, ayant épuisé ses réserves d’hydrogène, elle quitte son état d’équilibre.
Débute alors une longue phase de dégénérescence qui mènera, selon la taille de l’astre, à l’effondrement de son cœur voire à sa violente explosion.
Pour cette nouvelle création, Maud Blandel associe le phénomène astrophysique des pulsars au souvenir sonore tragique de l’explosion du cœur de son père.
En traduisant des principes tels que la rotation, la gravité, la périodicité, L’Œil nu met en jeu six danseur·euse·s et transforme l’espace scénique en véritable terrain d’observation: face à un corps (stellaire, physique, collectif) qui dégénère, que perçoit-on réellement?
Proposant bien plus qu’un simple travail de reconstitution d’un événement autobiographique, Maud Blandel joue des changements d’échelle, déjoue le tragique et met en images les (dys)fonctionnements de la mémoire: ses persistances, ses boucles autant que ses trous et autres zones d’ombre.
Car c’est bien là où la mémoire fait inévitablement défaut que s’engage la puissance de l’imagination. Il s’agit donc de faire image(s) afin de donner forme à celles qui nous manquent, de déformer celles que nous avons, et de célébrer par le corps ce qui dépasse notre entendement.
Dans le cadre de La Bâtie -coproduction de la Bâtie et du Pavillon ADC
Maud Blandel, mise en scène et scénographie
Avec Karine Dahouindji, Maya Masse, Tilouna Morel, Ana Teresa Pereira, Romane Peytavin, Simon Ramseier
Son Maud Blandel, Denis Rollet, Flavio Virzì
Pour s’y rendre
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