Jeudi
6 Juillet 2023
Aratan N'Akalle + DJ Aloko, un concert à découvrir le 6 juillet 2023 au Théâtre de l'Orangerie, Genève.
Contraints de fuir la crise au nord du Mali, ces «enfants du pays» se sont rencontrés dans les camps de réfugiés en 2012 avec comme seul havre de paix pour survivre, la musique de leur culture tamasheq inscrite au patrimoine culturel malien.
Pour garantir un résultat à la hauteur, l’album a été enregistré au studio du gardien de la musique blues du fleuve Niger, Ali Farka Touré.
Dès les cinq premières notes de guitare, leur single donne la cadence. Premier extrait de leur album Manamosse Kaltamasheq, Bariz est à l’image de l’œuvre complète du groupe : un concentré de culture tamasheq dans un mélange très rythmé de blues et de rock.
Le Groupe Aratan N’Akalle présente sa chanson à la fois comme une poésie d’amour et un hommage nostalgique à leur culture. Sous la maestria de leur directeur artistique, l’illustre bluesman malien Vieux Farka Touré - fils d’Ali Farka Touré, les jeunes musiciens ont transposé leur poésie à la fois douce et amère sur un rythme endiablé en souvenir de Bariz, ce quartier au sable chaud de Tombouctou.
Leur chanson se transforme alors en véritable hymne qui peut se murmurer, se crier ou se danser. Rentrés au Mali depuis quelques années, les jeunes se sont donnés pour mission de participer à la cohésion sociale à travers leur musique.
Grâce à elle, ils partagent fièrement leur culture tamasheq et espèrent faire cesser la stigmatisation dont leur communauté issue nord du Mali est encore victime. En puisant dans le courant musical «Assouf» («la nostalgie», en tamasheq), ils trouvent une source d’apaisement et de réconciliation avec eux-mêmes et avec le monde. Un résultat à la hauteur de la renommée internationale de la musique mandingue, dont les riffs de guitare traversent les époques et les expériences, heureuses ou malheureuses, de la vie.
Contraints de fuir la crise au nord du Mali, ces «enfants du pays» se sont rencontrés dans les camps de réfugiés en 2012 avec comme seul havre de paix pour survivre, la musique de leur culture tamasheq inscrite au patrimoine culturel malien.
Pour garantir un résultat à la hauteur, l’album a été enregistré au studio du gardien de la musique blues du fleuve Niger, Ali Farka Touré.
Dès les cinq premières notes de guitare, leur single donne la cadence. Premier extrait de leur album Manamosse Kaltamasheq, Bariz est à l’image de l’œuvre complète du groupe : un concentré de culture tamasheq dans un mélange très rythmé de blues et de rock.
Le Groupe Aratan N’Akalle présente sa chanson à la fois comme une poésie d’amour et un hommage nostalgique à leur culture. Sous la maestria de leur directeur artistique, l’illustre bluesman malien Vieux Farka Touré - fils d’Ali Farka Touré, les jeunes musiciens ont transposé leur poésie à la fois douce et amère sur un rythme endiablé en souvenir de Bariz, ce quartier au sable chaud de Tombouctou.
Leur chanson se transforme alors en véritable hymne qui peut se murmurer, se crier ou se danser. Rentrés au Mali depuis quelques années, les jeunes se sont donnés pour mission de participer à la cohésion sociale à travers leur musique.
Grâce à elle, ils partagent fièrement leur culture tamasheq et espèrent faire cesser la stigmatisation dont leur communauté issue nord du Mali est encore victime. En puisant dans le courant musical «Assouf» («la nostalgie», en tamasheq), ils trouvent une source d’apaisement et de réconciliation avec eux-mêmes et avec le monde. Un résultat à la hauteur de la renommée internationale de la musique mandingue, dont les riffs de guitare traversent les époques et les expériences, heureuses ou malheureuses, de la vie.
Bady Ag Agaly, guitare - Sidi Mohamed Ag Abou, guitare - Issa Ag Hadani, basse - Mahalmadane Abbanassa Traouré, percussion
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