Samedi
9 Mars 2024
Crépuscule, une proposition électroacoustique de Marcus Maeder à découvrir le 9 mars 2024 au Bâtiment ARCOOP, Carouge.
Marcus Maeder traite pour ce spectacle du thème du crépuscule. Il se produit au début et à la fin d’une journée, ainsi que dans les cultures humaines: Nietzsche, dans son Crépuscule des idoles, faisait référence aux idoles de son temps, dont il voyait venir la chute.
Le crépuscule est une période de transition; il se produit de manière cyclique et offre donc une analogie avec les périodes de changement social. Avec Crépuscule, Marcus Maeder tente de le capturer et de le refléter musicalement.
La confrontation émotionnelle avec un adieu aux modèles économiques, écologiques et sociaux traditionnels - et de nouveaux commencements encore inconnus; la mort et la naissance. Ces cycles constituent les thèmes et les humeurs qui apparaissent dans les douze mouvements de sa composition.
Au cœur de l’œuvre du compositeur se trouve l’idée du renouvellement cyclique dans le devenir de toute vie, la variation qui se cache dans chaque cycle apparemment identique, telle qu’elle se manifeste dans les processus évolutifs et naturels. Maeder s’inspire ici du concept de l’éternel retour - une pensée de Nietzsche et le traduit par de vastes plages sonores électroniques qui feront voyager le public du bâtiment Arcoop.
Marcus Maeder traite pour ce spectacle du thème du crépuscule. Il se produit au début et à la fin d’une journée, ainsi que dans les cultures humaines: Nietzsche, dans son Crépuscule des idoles, faisait référence aux idoles de son temps, dont il voyait venir la chute.
Le crépuscule est une période de transition; il se produit de manière cyclique et offre donc une analogie avec les périodes de changement social. Avec Crépuscule, Marcus Maeder tente de le capturer et de le refléter musicalement.
La confrontation émotionnelle avec un adieu aux modèles économiques, écologiques et sociaux traditionnels - et de nouveaux commencements encore inconnus; la mort et la naissance. Ces cycles constituent les thèmes et les humeurs qui apparaissent dans les douze mouvements de sa composition.
Au cœur de l’œuvre du compositeur se trouve l’idée du renouvellement cyclique dans le devenir de toute vie, la variation qui se cache dans chaque cycle apparemment identique, telle qu’elle se manifeste dans les processus évolutifs et naturels. Maeder s’inspire ici du concept de l’éternel retour - une pensée de Nietzsche et le traduit par de vastes plages sonores électroniques qui feront voyager le public du bâtiment Arcoop.
Commande de l’Ensemble Vide
Marcus Maeder, diffusion électroacoustique - Matthieu Baumann, scénographie et mise en lumière
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