Dès le Jeudi
29 Février au 10 Mars 2024
Lisbeths, un spectacle de Fabrice Melquiot et Valentin Rossier à découvrir du 29 février au 10 mars 2024 à la Scène Caecilia, Genève.
Comment saisir l’insaisissable? C’est l’une des questions auxquelles s’attelle la dernière création de Valentin Rossier, adaptée d’un texte de Fabrice Melquiot: Lisbeths.
Le texte cherche à poser les mots sur les peurs irrationnelles que connaissent bien tous ceux qui ont aimé un jour et pour lesquels, rapidement, se pose la question du langage. Ce qui fait une passion amoureuse, particulièrement dans Lisbeths, ce sont bien plus les non-dits et les silences que les déclarations.
Comment dire l’indicible? Au-delà de la seule situation amoureuse, la mise en scène fait réfléchir à l’ensemble de ce qui peut unir et désunir deux êtres. Le choix d’une scénographie minimaliste: deux pieds de micros et un carré parfait de spots lumineux encerclant les acteurs (Marie Druc en Lisbeth et Valentin Rossier dans le rôle de Pietr). Tous deux, face au public, laissent à leurs voix la charge du jeu et l’attention est résolument portée sur la performance vocale et le mouvement d’amplification qu’elle porte, tout comme les variations subtiles de la musique et des lumières cherchent le transport des sens et laissent à notre imagination la totalité de la représentation: on cherche bien davantage à nous faire vivre une fiction qu’à nous la montrer.
Dans la presse: «Lisbeths dégage l'érotisme d'un coup de reins. Par le seul jeu de son écriture, le dialogue mime les va-et-vient de deux corps pris de désir. Et les basculements, les vrilles, les syncopes que la passion amoureuse transmet simultanément au cerveau» - Katia Berger dans La Tibune de Genève
Comment saisir l’insaisissable? C’est l’une des questions auxquelles s’attelle la dernière création de Valentin Rossier, adaptée d’un texte de Fabrice Melquiot: Lisbeths.
Le texte cherche à poser les mots sur les peurs irrationnelles que connaissent bien tous ceux qui ont aimé un jour et pour lesquels, rapidement, se pose la question du langage. Ce qui fait une passion amoureuse, particulièrement dans Lisbeths, ce sont bien plus les non-dits et les silences que les déclarations.
Comment dire l’indicible? Au-delà de la seule situation amoureuse, la mise en scène fait réfléchir à l’ensemble de ce qui peut unir et désunir deux êtres. Le choix d’une scénographie minimaliste: deux pieds de micros et un carré parfait de spots lumineux encerclant les acteurs (Marie Druc en Lisbeth et Valentin Rossier dans le rôle de Pietr). Tous deux, face au public, laissent à leurs voix la charge du jeu et l’attention est résolument portée sur la performance vocale et le mouvement d’amplification qu’elle porte, tout comme les variations subtiles de la musique et des lumières cherchent le transport des sens et laissent à notre imagination la totalité de la représentation: on cherche bien davantage à nous faire vivre une fiction qu’à nous la montrer.
Dans la presse: «Lisbeths dégage l'érotisme d'un coup de reins. Par le seul jeu de son écriture, le dialogue mime les va-et-vient de deux corps pris de désir. Et les basculements, les vrilles, les syncopes que la passion amoureuse transmet simultanément au cerveau» - Katia Berger dans La Tibune de Genève
Avec Marie Druc et Valentin Rossier
Fabrice Melquiot, texte - Valentin Rossier, mise en scène
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